01112025
Après des années de domination passive, la gestion active retrouve de la vigueur. Mais ce regain reste étroitement lié au marché obligataire et à la recherche de flexibilité face à la volatilité macroéconomique.
 
				
				
La rénovation immobilière occupe aujourd’hui une place centrale, portée par la lutte contre les passoires thermiques, la transformation du parc tertiaire et une certaine appétence pour la restauration d’immeubles classés, véritables témoins de notre patrimoine historique. Les considérations sociétales et environnementales s’ajoutent désormais aux critères financiers. Nombre d’investisseurs s’interrogent sur la manière d’allier rendement, impact positif et choix entre placements directs ou financiers. Certes, l’instabilité des dispositifs fiscaux (MaPrimeRénov suspendue puis rétablie sous conditions, fin du Pinel, avenir incertain pour le Denormandie) brouille la lisibilité pour les particuliers et les conseillers. Pourtant, l’immobilier reste perçu par la majorité des Français comme un placement sûr, car tangible et rassurant.
