22112024

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Immobilier

Corum : des performances records pour ses deux SCPI

Huit ans après sa création, Corum AM, qui affiche aujourd’hui plus de 2 Md€ sous gestion, continue de révolutionner la vieille pierre-papier. Elle dévoile des taux canon pour ses deux SCPI. 

Après avoir mensualisé le revenu et décimalisé l’épargne avec une possibilité de versement programmé à partir de 50 € par mois, la société de gestion Corum Asset Management dévoile des performances canon, loin des quelque 4,5% moyen des autres SCPI. Elle affiche 7,28 % pour Corum Origin et 7,91 % pour Corum XL en 2018. 

L’année a été marquée par une collecte de 533 M€, répartie entre Corum Origin (346 M€) et Corum XL (187 M€). Corum a investi pour un montant de 529 M€ dans dix pays de la zone euro et au-delà de la zone euro. 

Corum Origin : la SCPI a réalisé, pour la septième année consécutive depuis sa création, un rendement supérieur à son objectif annuel de 6%. « Avec 7,28% de rendement annuel (6,45% en 2017), la performance de Corum Origin est à son plus haut historique et la plus importante pour une SCPI zone euro », commente Frédéric Puzin, président de Corum (photo).

Cette performance se décompose ainsi 6,83% de rendement issu des loyers payés par les locataires, 0,10% de plus-value réalisée sur la vente d’un immeuble, 0,35% de résultats non distribués les années précédentes. Soulignons que la stratégie de Corum reste de maitriser le volume d’épargne collectée afin d’investir dans des immeubles de bonne qualité et dans de bonnes conditions.

Corum XL : la SCPI, investie en Europe et hors zone euro, a réalisé cette année 7,91% de rendement (6,58% annualisé en 2017). « Cette performance est obtenue grâce à l’anticipation des investissements réalisés par rapport au montant de l’épargne collectée », explique le président de la société.

Corum XL a réalisé ses premiers investissements hors de la zone euro, en Pologne et au Royaume-Uni. « La chute de la livre (1,38 € en 2016 ; 1,11 € en 2018) ainsi que la baisse des prix de l’immobilier consécutive au Brexit font du Royaume-Uni un marché attractif pour les investissements immobiliers », conclut Frédéric Puzin. 

Jean-Denis Errard