22122024

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Actualité des sociétés

De bons résultats semestriels pour IVO Capital Partners

Resultas Semestriel Banque dimages et photos libres de droit iStock Google Chrome 18 09 2024 15 01 47

Dynamique robuste de la stratégie obligataire d’IVO Capital Partners au premier semestre 2024, avec de solides performances de l’ensemble des fonds et une forte collecte. Un constat dont la société peut légitimement s’enorgueillir.

 

« Le succès de la stratégie sur le marché des obligations corporate émergentes d’IVO Capital Partners, est-il indiqué dans un communiqué de presse de la société, se confirme avec une forte collecte au premier semestre et une importante progression des actifs sous gestion, portés à 1,5 Md€. Pour accompagner sa dynamique de croissance, IVO Capital Partner annonce, en outre, deux recrutements : Boris Fischer, ex-SphereInvest et BlueBay, et Jérémy Landau, ex-LibertyView Capital Management (Neuberger Berman) et Millennium, viennent renforcer l’équipe de gestion. »

Une approche équilibrée

Société de gestion française indépendante, Capital Partners réaffirme sa position d’acteur incontournable dans l’univers des obligations d’entreprises émergentes. La hausse semestrielle des encours a été portée par le « flagship » IVO Fixed Income, dont l’encours, qui a augmenté de 191 M€ (+ 34 %), s’élève désormais à 746 M€. Le fonds IVO 2028 n’est pas en reste.

Il a enregistré une hausse de 77 M€ (+ 90 %) de son encours, lequel se monte à 162 M€. Sur les trois quarts de l’année en cours, IVO Fixed Income, IVO Short Duration SRI et IVO 2028 affichaient, pour leurs parts I en euro, des performances respectives de + 9,4 %, + 8 % et + 7,7 %. « Une surperformance qui s’inscrit dans la continuité de celles réalisées en 2022 et 2023 », est-il souligné dans le communiqué.

Jérémy Landau, titulaire d’un Bachelor of Science in Business Administration de Georgetown University (Washington DC), et Boris Fischer, diplômé de l’Essec, CFA, deux professionnels dernièrement recrutés par la société de gestion, assureront les fonctions d’analyste senior et de gérant au sein de l’équipe de gestion. Rappelons qu’IVO Capital Partners, qui met en œuvre une approche « équilibrée » entre gestion de conviction et diversification, intervient dans un univers d’investissement « étendu » : 1.700 émetteurs dans une cinquantaine de pays. Le recrutement de ces « talents » vise à élargir la gamme de produits, ainsi que le nombre de sociétés et de pays suivis. A noter que la société compte une quinzaine de nationalités dans ses effectifs.

Un niveau de portage élevé

« Nous nous réjouissons de l’arrivée de Boris Fischer et de Jérémy Landau, dont l’apport dans le métier est déjà reconnu, commente Sidney Oury, directeur général-gérant d’IVO Capital Partners. Après l’arrivée d’Agnese Melbarde et d’Emma Otmani, c’est une reconnaissance supplémentaire de voir des profils aussi compétents rejoindre notre aventure entrepreneuriale. Nous sommes convaincus qu’il est pertinent de continuer à former de jeunes talents, tout en intégrant des professionnels expérimentés. Ce modèle nous permet de bénéficier d’une gestion diversifiée et de qualité, tout en renforçant notre approche disciplinaire, notre capacité à générer de la performance à long terme et à améliorer la gestion de risques. »

Pour les experts d’IVO Capital Partners, les scénarios d’une baisse ou d’une stabilisation des taux d’intérêt sont favorables aux porteurs de dettes d’entreprises émergentes. Celles-ci sont très peu endettées et offrent un niveau de portage élevé. Parallèlement, le dynamisme « retrouvé » du marché primaire engendre des opportunités de diversification, ouvrant la voie à une plus grande « profondeur » des portefeuilles obligataires.

De surcroît, dans plusieurs pays émergents, il y a une reprise des investissements, soutenue par une dynamique microéconomique « résiliente », ce qui permet aux entreprises de secteurs variés de maintenir leur croissance.

Créée en 2012, IVO Capital Partners investit dans le crédit, coté et non coté, avec comme spécialité les obligations émergentes. La société développe également un pôle « financement de contentieux » (pour qu’ils aboutissent à réparation).

 

ML