Tendance
Nouvelle tendance, les SCPI investies en Europe
- Lundi 8 février 2016 - 17:56
En 2015, il fût difficile de rester insensible aux multiples atouts des sociétés civiles de placement immobilières : rendement moyen de l’ordre de 5% net, risque peu élevé pour l’investisseur, ticket d’entrée accessible à partir de 5000 euros.
On évoque d’ailleurs encore un record de collecte avec un chiffre qui devrait avoisiner les 4,5 milliards d’euros contre 3,5 milliards d’euros en 2014. Comme l’indique Lionel Benhamou, Directeur associé de La Centrale des SCPI, acteur indépendant du marché, la SCPI profite de la baisse des rendements du livret A, de l’assurance vie et de la difficulté pour un investisseur de faire de l’immobilier en détention directe (loyers impayés, carence, vacance, charges de copropriétés et taxe foncières en hausse) Pour faire face à cet engouement sans précédent, les sociétés de gestions innovent et font évoluer leurs offres, notamment en réalisant des acquisitions sur la zone euros.
La raison est toute simple : le champ de recherche étant plus étendu, les opportunités de trouver des actifs rentables sont plus nombreuses.
Cela permet aussi de bénéficier de la croissance insolente de certains pays européen comme l’Allemagne.
La société de gestion précurseur en ce domaine est CORUM AM avec sa désormais jeune mais incontournable SCPI CORUM CONVICTION. On pourrait la qualifier de SCPI hybride avec un patrimoine repartie équitablement entre la France et la zone euros.
Mais depuis peu il existe des SCPI dont « l’ADN » est composé à 100% d’actifs Européen comme la SCPI Novapierre Allemagne de la société de gestions de Paref ou encore LFP europimmo de la société de gestion La FRANCAISE AM .
Comme le précise Lionel Benhamou, l’investisseur bénéficie d’un avantage fiscal non négligeable : il n’est pas soumis aux prélèvements sociaux sur les loyers versés par la SCPI.
Nul doute qu’avec de tels atouts, ce type de SCPI va rapidement s’imposer comme un placement « à avoir » dans son patrimoine SCPI à titre de diversification.
Publi-communiqué