27122024

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Actualité des sociétés

Épargne retraite : le choix plébiscité de l’entreprise

pargneRetraite

Une enquête menée par Audirep, pour le compte d’Amundi, Crédit Agricole Assurance et le Diot-Siaci Institute, auprès de 1500 répondants volontaires (actifs et retraités) détenant des produits d’épargne salariale et retraite (PEE,PERCO, PERCOL et article 83/PERO) nous renseigne sur les attentes « retraite » des salariés.

 

Tout d’abord les chiffres

- Près de 8 salariés sur 10 épargnent déjà en vue de la retraite.
- 47 % des retraités, ex-salariés, auraient aimé épargner plus pour assurer leurs dépenses.
- Un tiers des salariés qui n’épargnent pas encore ne savent pas comment s’y prendre. Chez les actifs de moins de 45 ans, un salarié sur deux attend du conseil.

Pour préparer leur retraite, 31 % des répondants–qui n’épargne pas encore–ne savent pas comment s’y prendre. Ce taux atteint même 51 % chez les plus jeunes actifs de moins de 45 ans. Si les conseils personnalisés arrivent en tête des souhaits, l’accompagnement (pour 64 %) les placements conçus pour la retraite et proposés tôt dans la vie active (pour 51 %) ou encore les simulateurs pour évaluer ses revenus à la retraite ou pour définir ses besoins d’épargne (pour 48 %) sont également attendus

Des attentes et des regrets

La moitié des jeunes retraités (47 %) interrogés estime avoir manqué de conseil pour préparer leur retraite. Ils auraient préféré épargner plus pour faire face aux diverses dépenses, notamment les loisirs : 51 % auraient besoin de 300 à 500 € par mois supplémentaires.
62 % des répondants affirment connaître leur date de départ à la retraite, mais moins de la moitié (46 %) connaît le montant de ses futures pensions. Enfin, un tiers (73 % chez les moins de 45 ans) ne connaît ni sa date de départ ni le montant de ses pensions.

Si la caisse de retraite est l’interlocuteur spontanément le plus cité pour accompagner la préparation au départ de la retraite (40 % des répondants), le gestionnaire d’épargne salariale et de retraite collective ou le cabinet conseil arrive en second rang (respectivement 29 % et 26 %) devant l’entourage.

PL