Immobilier

Où placer l'argent de la vente de votre société ?

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Ce sont environ 75 000 entreprises qui sont mises en vente chaque année en France. Les chiffres montrent qu’il s’agit de 45 000 TPE, de 15 000 PME et ETI et de 15 000 entreprises cédées par des artisans ou des commerçants. Longuement réfléchie, la vente d’une entreprise que l’on a soi-même créée ou bien reprise engendre un changement de vie. Elle conduit également à s’interroger sur la manière dont on va placer l’argent issu de cette cession.

(Publi-communiqué)

Il s’agit en effet de continuer à faire prospérer son patrimoine, même si l’envie d’en profiter pour partie est légitime. Il est également tentant de commencer à préparer sa succession en aidant ses enfants à s’installer. Toutefois, il importe aussi de penser à soi afin de ne pas se trouver démuni l’âge venant. Ainsi, il est nécessaire d’analyser les pistes qui s’offrent à une personne venant de vendre sa société.

Placer l’argent de la vente d’une société doit conduire à percevoir des revenus réguliers afin de compléter ses pensions de retraite

L’argent perçu à l’issue de la vente de sa société varie considérablement en fonction de sa taille, du chiffre d’affaires et des bénéfices qu’elle réalisait. La fourchette oscille généralement entre quelques dizaines de milliers et quelques centaines de millions d’euros. Toutefois, le produit de la vente d’une société est plus proche du million d’euros que du milliard. Cela constitue néanmoins une belle somme qu’il va falloir placer dans les meilleures conditions possibles.

Souvent, les chefs d’entreprises ont limité le niveau de leurs cotisations en vue de leur retraite et ils espèrent que le fruit de la vente de leur société leur permettra de compléter leurs pensions. C’est une idée judicieuse à condition de trouver le bon support. En d’autres termes, où placer l’argent de la vente de sa société pour que les intérêts ou les dividendes évitent de devoir puiser dans le capital pour compléter ses revenus ?

Comme le souligne Gabriela Kockova, manager au sein de La Centrale des SCPI, la plateforme leader dans la distribution de parts de SCPI (www.centraledesscpi.com) :

« De nombreux clients nous appellent au 01.44.56.00.23 après avoir constaté que les contrats d’assurance-vie en euros rapportent de moins en moins et qu’il est nécessaire de placer d’importantes sommes d’argent pour bénéficier d’une rente acceptable. »

Le calcul est en effet très simple : plus les taux d’intérêt sont bas, plus il est nécessaire de bloquer de l’argent pour percevoir un montant de rente déterminé à l’avance.

En 2018, les contrats d’assurance-vie en euros ont rapporté en moyenne à leurs détenteurs 1,80 %. Pour 2019, le rendement devrait sensiblement reculer et il n’est pas impossible que la moyenne des rendements atteigne péniblement 1,50 %. C’est effectivement très peu, et c’est même moins que le niveau d’inflation. En face, le rendement des meilleures SCPI a oscillé autour de 6 % et il devrait en être de même en 2019. Le calcul est donc vite fait : les meilleures SCPI vont rapporter en 2019 quatre fois plus que la moyenne des contrats d’assurance-vie en euros.
Aussi, afin de se constituer une rente et placer l’argent suite à la vente de sa société, où vaut-il mieux investir ? Sur un contrat d’assurance-vie en euros ou dans l’achat de parts de sociétés civiles de placement immobilier ? La réponse est dans la question. Bien évidemment, l’ex-chef d’entreprise peut investir son argent en Bourse dans le but de percevoir des dividendes mais, avec tous les risques que cela induit. En outre, la gestion d’un portefeuille boursier, petit ou grand, prend énormément de temps.

Un ancien chef d’entreprise qui n’a pas compté ses heures pour développer cette dernière ne va-t-il pas chercher à profiter de son temps une fois la cession réalisée plutôt que de suivre en permanence l’évolution des marchés financiers ?

De même, il pourrait réinvestir une partie du fruit de la vente en immobilier détenu en direct mais il ne profiterait pas de la mutualisation offerte par les SCPI, notamment géographique (France, zone euro et hors zone euro) et serait confronté à d’importantes contraintes de gestion. Avec les SCPI, c’est la société de gestion qui les a créées et qui les gère qui s’occupe de tout. Le cédant est donc maître de son temps, et de son argent.

Les gérants de sociétés n’étant pas des spécialistes de la gestion patrimoniale, ils ont tout intérêt à se faire accompagner pour concrétiser leur projet SCPI

Chaque métier offre des spécificités et nécessite des compétences particulières ; la distribution de parts de SCPI n’échappe pas à la règle. Ainsi que le rappelle Lionel Benhamou, l’un des associés-fondateurs de La Centrale des SCPI :

« Nous sommes sur le marché de la SCPI depuis près de 10 ans. Nous avons pu développer un savoir-faire unique et sommes aptes à réaliser du sur-mesure pour chacun de nos clients. Leurs objectifs sont les nôtres. Nous sommes à la disposition des chefs d’entreprises qui ont vendu leur affaire pour les rencontrer dans notre boutique du 15 rue Saint-Roch, dans le premier arrondissement de Paris. Bien évidemment, nous nous déplaçons en tant que de besoin dans toute la France si nécessaire. »

Avant d’investir en SCPI, il est fondamental de se documenter sur ce placement qui a déjà séduit plus d’un million de Français aux profils très divers. Les SCPI sont des produits d’épargne très accessibles qui obéissent aux mêmes règles qu’un investissement immobilier en direct. Elles comportent néanmoins des spécificités du fait de leur positionnement sur la palette des investissements.

Parmi les meilleures plateformes SCPI, figure La Centrale des SCPI qui a réalisé une vidéo pour comprendre les SCPI de rendement avec la participation de Julien Lepers. Très pédagogique, celle-ci explique très simplement le mode de fonctionnement des SCPI avec pour objectif de démocratiser ce placement d’épargne qui ne nécessite que quelques centaines d’euros pour posséder des parts de SCPI.

La préservation de leur pouvoir d’achat est une nécessité pour les chefs d’entreprise qui ont vendu leurs sociétés. L’achat de parts de SCPI leur permet, sans le moindre souci de gestion, de percevoir des revenus complémentaires venant avantageusement compléter leurs pensions de retraite après une vie de travail consacrée au développement de leur projet professionnel. Les experts de La Centrale des SCPI s’y connaissent et ont déjà accompagné de nombreux entrepreneurs français dans leurs reconversion patrimoniale grâce aux SCPI. Pourquoi pas vous ?

Informez-vous sur la SCPI grâce à notre vidéo explicative :


 

Avertissement
L'investissement dans une SCPI n'est pas garanti, tant du point de vue des dividendes perçus que de celui de la préservation du capital. Les SCPI dépendent en effet des fluctuations des marchés immobiliers.
Avant toute décision d'achat de parts de SCPI, faites-vous conseiller par un professionnel afin d'être certain(e) que ce placement correspond à votre profil patrimonial.
Enfin, comme tout investissement immobilier, tenez compte du fait que les SCPI sont des placements de long terme dont la durée de détention minimale ne saurait être inférieure à huit ans.